Adieu ma chère, Nancy.
Je pars en mer.
Je penserai à toi.
Je t’écrirai.
Et n’importe où se trouve mon corps, mon coeur reste près de toi.
Et après la guerre, on rentrera, on retrouvera nos bien-aimées, on dépensera notre argent, et puis on repartira en mer.
Une chanson du gaillard d'avant.